mercredi 27 avril 2011

une cité perdue révèle ses secrets


Archéologue Brigitte Kovacevich dans le tunnel des pillards a l' intérieur de la pyramide, site Head of Stone 

Ker Than
Publié en avril 26, 2011



Caché pendant des siècles, l'ancienne ville maya de Holtun, ou Head of Stone, est finalement exploré.
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carte en trois dimensions de l'observatoire 
enterrés sur le site Maya guatémaltèque de Holtun.
La cartographie en trois dimensions a "effacé" des siècles de croissance de la jungle, révélant ainsi les contours bruts de près d'une centaine de bâtiments, selon des recherches présentées plus tôt ce mois-ci.
Bien qu'il soit connu depuis longtemps par la population locale , quelque chose de grand, est enterré dans ce petit coin du Guatemala dans la forêt tropicale, c'est seulement maintenant que les archéologues sont en mesure de commencer à démêler exactement ce qui a été Head of Stone.
En utilisant le GPS et la technologie électronique de mesure à distance l'an dernier, les chercheurs ont tracé les emplacements et les élévations d'une pyramide de sept étages de haut, un observatoire astronomique, un jeu de boule rituel, plusieurs demeures en pierre, et d'autres structures.
(Voir National Geographic images des cités mayas fouilles .)
Le Denver Maya?
Certaines des maisons en pierre, a déclaré responsable de l'étude Brigitte Kovacevich, pourrait avoir ete des chambres funéraires pour les premiers rois de la ville.
« Souvent les Archéologues cherchent  les plus grande des pyramides ou des temples pour trouver les tombes des premiers rois, mais pendant cette période tardive Préclassique moyen", soit environ 600 avant JC à 300 avant JC-"le roi n'est pas le centre de l'univers encore, donc il est probablement encore enterré dans une maison », a déclaré Kovacevich, un archéologue à la Southern Methodist University de Dallas.
"C'est peut-être pourquoi tant de rois préclassique ont été manquées» par les archéologues, qui s'attendaient à trouver des sépultures des souverains dans de grands temples, at-elle ajouté.
Les conclusions a Head of Stone au sujet des masques géants trouvés sur le site, pourrait faire la lumière sur la façon dont les centres Mayas "secondaire" étaient organisés et comment la vie quotidienne était pour les Mayas qui vivaient en dehors des plus grandes régions métropolitaines comme Tikal , a environ 22 miles (35 kilomètres) au nord, selon Kathryn Reese-Taylor , un spécialiste de la période préclassique Maya à l'Université de Calgary au Canada.
Head of Stone, qui n'a jamais été fouillé, "n'était pas un de New York ou un Los Angeles, mais il était certainement un Denver ou à Atlanta», a déclaré Reese-Taylor, qui a designé la nouvelle étude de cartographie comme "incroyablement significative."
Pyramide enterré
Depuis environ 600 ans avant JC à 900 après J.-C., Head of Stone qui est d'environ trois quarts d'un mile (1 kilomètre) de long et un tiers d'un mile (0,5 km) de large, était un centre animé de taille moyenne Maya, qui abritait environ 2.000 résidents permanent .
Mais aujourd'hui, ses structures sont enfouis sous plusieurs mètres de terre et de matières végétales et sont presque invisibles à l'œil inexpérimenté.
Même la tete de la pyramides qui est l' un des plus impressionnants bâtiments de la ville »ressemble à une montagne enveloppée dans la forêt», a déclaré chef de l'étude Kovacevich, qui a présenté les résultats lors d'une réunion de la Society for American Archaeology à Sacramento, en Californie.
Jungle epaisse et voleurs
Head of Stone est si bien caché, en effet, que les archéologues n'en ont pas eut connaissance avant le début des années 1990, et seulement parce qu'ils avaient suivit les sentiers de pillards qui avait découvert le premier site, peut-être après que les agriculteurs aient tenté de dégager la zone , selon Kovacevich.
Pour les voleurs, les principales attractions étaient les masques en stuc massif mesurant jusqu'à dix pieds (trois mètres) de hauteur. Revelé lorsque les pillards ont creusé des tunnels dans la ville enterrée, les masques ornait certains des bâtiments les plus importants.
Le temple, Kovacevich a dit, "les masques en stuc finement peints etait des deux côtés de l'escalier et représentaient des figures humaines, des jaguars grognant», et d'autres formes.
Au cours de la période préclassique, Head of Stone les bâtiments publics aurait été peint surtout dans les rouges du sang, des blancs lumineux, et les jaunes moutarde, l'Université de Calgary Reese-Taylor. Peintures murales de motifs géométriques ou des scènes de la mythologie ou la vie quotidienne aurait couvert une partie des bâtiments, at-elle ajouté.

Roi des Etoiles
Lors d'événements spéciaux au Siège de Pierre, comme le couronnement d'un roi ou la désignation d'un héritier royal, "il y aurait eu beaucoup de gens, non seulement les 2.000 personnes vivant sur le site lui-même mais tous les gens des régions environnante. Ainsi, plusieurs milliers de personnes ", a déclaré Reese-Taylor.
Une épaisse fumée grise et l'odeur de l'encens aurait rempli l'air. En regardant vers le sommet du temple à travers cette brume, un visiteur aurait pu voir "praticiens traditionnels» des danses et rituels sacrés tout orné de plumes d'élaborer des costumes et des bijoux de jade.
Au cours des solstices ou des équinoxes , la foule se serait déplacé plus au sud et plus haut dans la ville, autour des bâtiments qui composent l'observatoire astronomique.
«Au cours des solstices, vous auriez pu voir le lever du soleil en ligne avec la structure de l'Est, et le peuple aurait pensé que le roi commandait les cieux», responsable de l'étude Kovacevich a dit.
Les chercheurs, cependant, dirigent leur regard vers le bas. Cet été, ils espèrent commencer à creuser les structures résidentielles et l'observatoire, ainsi que d'éventuellement retirer le sous-bois du temple principal.
Et, à l'aide d'un géoradar, ils espèrent redessiner plus nettement le relief du Head of Stone.
En voyant à travers le sol de la façon dont le projet de cartographie précédente a vu à travers les arbres et les broussailles, le radar doit révéler non seulement les formes arrondies de la ville, mais le contours des bâtiments eux-mêmes.

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