samedi 12 novembre 2011

Mortalité massive d'huîtres à Chesapeake, aux États-Unis

9 novembre 2011. Mortalité massive d'huîtres à Chesapeake enregistrées. La population de mollusques et crustacés sur la côte est sur le point de disparaître. Les huîtres meurent de causes naturelles à chaque saison, mais maintenant cela prend des dimensions catastrophiques. Les huîtres ont été en grande demande, mais maintenant, les pêcheurs ne peuvent pas fournir tous les fournisseurs dut a l'extinction massive des deux espèces.
La partie nord de la baie est devenu un cimetière énorme. Il est supposé que les palourdes ont été tués à cause des inondations causées par l'ouragan Rina, mais la cause exacte du décès des populations d'huîtres est inconnue, selon la terre chronicles.ru citant baltimore.cbslocal.com



http://fr.wikipedia.org/wiki/Hu%C3%AEtre

Biologie[modifier]

L'étude des huîtres fossiles montre que de nombreuses espèces ont existé dans le passé et ont, comme leurs ancêtres, joué un rôle écologique et trophique important sur les plateaux continentaux, contribuant notamment au cycle du carbone et aux puits de carbone. Les paléontologues retrouvent des accumulations massives de coquilles d’ostréidés, très épaisses (« intérieur » d’un banc ou récif constitué d'huîtres) ou en couches bidimensionnelles lorsqu'elles couvraient le sédiment. Diverses espèces ont occupé une large gamme de niches écologiques, avec des morphotypes adaptés à différents substrats et à des conditions environnementales, climatiques et édaphiques variant selon la salinité, la turbidité, l'oxygénation, le courant, la saison, la bathymétrie, etc.
La croissance accrétionnaire et saisonnière des coquilles (via les stries de croissance) est une mémoire des fluctuations environnementales. Elle permet des études sclérochronologiques, qu'on peut affiner par l'analyse des teneurs en isotopes stables (C et O), ce qui permet de rétrospectivement évaluer l’âge absolu des huîtres fossiles et reconstituer leurs dynamiques de populations. On a ainsi pu évaluer le temps représenté par certaines couches sédimentaires (cycles annuels à pluriséculaires).

Anatomie[modifier]

L'huître présente une anatomie caractéristique des lamellibranches.
Article détaillé : Coquille (mollusque).
La coquille se compose d'aragonite et de protéines comme la conchyoline.
Le manteau constitue la structure la plus externe du corps mou de l'huître. Il correspond à la membrane qui se rétracte lorsqu'on la pique ou qu'on l'asperge de citron. Une grande partie de l'intérieur de l'huître est occupée par les branchies. Elles ont un rôle respiratoire, mais également nutritionnel. En effet, les cils présents sur les axes des branchies créent un courant d'eau qui permet l'acheminement vers la bouche des particules nutritives dont se nourrit l'animal. Comme les autres lamellibranches, l'huître ne possède pas de tête. Un muscle adducteur important permet de contrôler l'ouverture de la coquille. C'est ce muscle qui maintient l'huître fermée et que l'on doit couper lors de l'ouverture de l'animal.

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